Les problèmes sociaux sont nombreux et complexes et les ados qui fréquentent les maisons des jeunes sont conscient·es du chômage, de la pauvreté, du décrochage scolaire, de la violence et de l’exclusion. Les maisons des jeunes ont donc été mises sur pied pour briser l’isolement des jeunes, offrir un milieu de soutien et d’accompagnement, combattre la surconsommation, faciliter l’intégration à la société, développer le sens des responsabilités, permettre l’apprentissage de la démocratie et favoriser la prise en charge, l’autonomie, les relations volontaires et égalitaires.
Ce qui aurait pu n’être qu’un beau projet à une certaine époque et dans un certain quartier de la ville de Québec, est devenu aujourd’hui un extraordinaire mouvement qui a rayonné à travers tout le Québec.